mercredi 23 décembre 2009
mardi 1 décembre 2009
Possible ressource
Pardonnez moi ma faible présence sur ce blog, mais je ne suis pas très douée (en matière de blog et de publication de post), et aussi un peu débordée;
Juste une information, possiblement utile lors des retours de terrain, j'ai appris - mais peut être étais la seule à ne pas le savoir - que Sciences Po dispose d'un centre qui dispense des formations sur l'exploitation d'enquêtes et les méthodologies statistiques (pas seulement électorales): le CDSP.
Alice
Juste une information, possiblement utile lors des retours de terrain, j'ai appris - mais peut être étais la seule à ne pas le savoir - que Sciences Po dispose d'un centre qui dispense des formations sur l'exploitation d'enquêtes et les méthodologies statistiques (pas seulement électorales): le CDSP.
Alice
Etat d'avancement des terrains
Bonjour à tous,
Nous espérons que votre terrain se déroule bien. Comme il ne reste plus beaucoup de temps avant le retour en France, nous voudrions faire le point avec vous. Pour cela, nous vous demandons de nous transmettre avant la fin de la semaine un état d'avancement de votre terrain. Où en êtes-vous de vos hypothèses de travail et de votre questionnaire? (certains d'entre vous ne nous ont toujours pas transmis leur questionnaire; celui-ci n'a donc pas encore été validé). Comment se déroulent vos enquêtes? Combien de personnes interrogées? Selon quels critères? Et puis surtout, expliquez nous comment vous voyez les quelques semaines de terrain à venir. Que vous reste-t-il à faire? Quelles sont vos difficultés? Comment allez-vous y faire face?
Vous pouvez nous faire parvenir votre état d'avancement soit par courrier électronique que vous envoyez aux 3 tuteurs (avec copie éventuelle à l'ensemble de vos camarades), soit sur le blog (qui est dans l'ensemble sous-utilisé).
Bien cordialement.
Alice, Thomas et David
Nous espérons que votre terrain se déroule bien. Comme il ne reste plus beaucoup de temps avant le retour en France, nous voudrions faire le point avec vous. Pour cela, nous vous demandons de nous transmettre avant la fin de la semaine un état d'avancement de votre terrain. Où en êtes-vous de vos hypothèses de travail et de votre questionnaire? (certains d'entre vous ne nous ont toujours pas transmis leur questionnaire; celui-ci n'a donc pas encore été validé). Comment se déroulent vos enquêtes? Combien de personnes interrogées? Selon quels critères? Et puis surtout, expliquez nous comment vous voyez les quelques semaines de terrain à venir. Que vous reste-t-il à faire? Quelles sont vos difficultés? Comment allez-vous y faire face?
Vous pouvez nous faire parvenir votre état d'avancement soit par courrier électronique que vous envoyez aux 3 tuteurs (avec copie éventuelle à l'ensemble de vos camarades), soit sur le blog (qui est dans l'ensemble sous-utilisé).
Bien cordialement.
Alice, Thomas et David
vendredi 20 novembre 2009
Simona: les investissements pour la lutte contre le SIDA
Bonjour à tous.
Enfin, grace à l'analyse des données et surtout des opinions que j'ai collectées et à l'analyse des expériences vécues, je suis avancée dans l'élaboration de mon projet..
En effet, c’est reconnu que en augmentant les investissements dans le secteur de la santé on a une augmentation de la croissance économique.
Mais certaines fois c’est impossible d’augmenter les investissements en manière consistante et durative, surtout pour les pays en voie de développement qui dépendent des pays plus développés pour la majorité de leurs investissements en santé. En effet, ces pays se trouvent à opérer dans une situation de ressources restreintes et difficilement croissantes.
C’est a partir de ces constatations que je me suis intéressée à comment maximiser l’efficace et l’efficience des investissements dans le secteur de la santé. En effet, si l’efficace et l’efficience des investissements est majeure, pour chaque niveau donné des investissement on peut rejoindre un output meilleure.
Dans ce cas, concernant la santé, j’ai pensé utiliser comme output le nombre de malades prise en charge.
En effet, plus est grande le nombre de malades pris en charge plus on réduit la mortalité (et le nombre de malades prises en charge est, avec la qualité des soins, la seule-je crois- levier directe pour influencer le taux de mortalité). Et la réduction de la mortalité est l’un des aspects qui permettent une majeure croissance économique. Donc je crois que l’augmentation du nombre de malades pris en charge a parité d’investissement doit être un des objectifs des états, surtout s’ils n’ont pas des ressources trop vastes, comme dans le cas du Cameroun. En effet, cet état dépende comme plusieurs pays de l’Afrique subsaharienne des investissements étrangers pour effectuer efficacement sa lutte contre le SIDA. Cependant, ces investissement ne sont pas infini dans le temps, comme est en train d’émerger dramatiquement dans le cas de ce pays.
La demande que je me suis posée est donc : à l’intérieur de la lutte contre le SIDA, quels sont les secteurs d’investissement qui permettent de maximiser l’efficience des investissements mêmes ? Est-il mieux d’investir dans la sensibilisation ou dans les contributions pour les médicaments ? Dans la réduction des temps d’attente ou dans la réduction du coût des visites ?
Pour répondre à cette question, je doit voir quel a été l’impact des investissements dans les différentes facteurs sur l’output.
Je pense utiliser un modèle (Nombre malades pris en charge = ß1 X1+ ß2 X2 + ß3 X3 + ß4 X4 + ß5 X5 + ß6 X6 +Ɛ ) où la variable expliquée est le nombre de malades pris en charge, tandis que les variables explicatives sont tous les facteurs qui influencent ce nombre et qui peuvent être amélioré par un augmentation de l’investissement (qui peut être « additionnel », dans le cas meilleure, ou « soustractif », quand l’investissement totale est constante et cette augmentation est possible à détriment des autres facteurs). Je considère seulement l’investissement publique ou des organisations internationales (il n’y a pas un gros investissement privé, à l’exclusion des investissements effectués par les malades). En effet, les malades n’ont pas l’opportunité de modifier la répartition de leur investissement, qui est dépendante des choix d’investissement « publiques ».
C’est à partir des entretiens que j’ai eu sur le terrain avec des travailleurs du secteur sanitaire, des patients et des gestionnaires de la santé publique, que j’ai identifié les six différents facteurs qui j’ai mis dans le modèle et qui peuvent influencer directement le nombre des malades qui se font détecter et qui sont pris en charge. Ces facteurs sont :
X1 = coût des médicaments.
X2 = niveau de stigmatisation, qui est la cause d’une réduction du nombre des personnes qui se font dépister et soigner.
X3 = coûts indirects (de transport et de logement) soutenus pour aller à l’hôpital et pour se loger dans la ville où il se trouve.
X4 = temps d’attente (pour faire la visite de contrôle ou pour recevoir les médicaments à la pharmacie).
X5 = nombre d’agents de soutien psychosociale, qui influence le nombre des perdus de vue
X6 = coût des visites et des examens.
Pour chaque variable, j’ai besoin d’une série historique de données qui va du 2000 au 2009.
Dans plusieurs cas, pour estimer la valeur de ces facteurs on doit utiliser des proxi. La choix de proxi est influencée par le problème de l’incomplétude des données pour ce type de pays, où les collectes de données officielles sont insuffisantes et limité dans le temps.
J’ai des idées, mais je n’ai pas encore décidé pour toutes les variables quelle proxi j’utiliserai. Ça dépendra des données que j’ai pu collecter ou que je peux trouver sur des revues/des sites spécialisés. Et surtout je dois vérifier leur cohérence
Pour ce qui concerne la variable dépendante, j’ai choisi utiliser le nombre de malades pris en charge puisqu’elle est une variable influencée seulement par l’investissement totale et l’efficace et l’efficience des investissements. En effet, l’incidence, qui est le nombre de nouveaux cas d'une pathologie observés pendant une période et pour une population déterminée, n’influence pas le nombre de prise en charge : même si le nombre de malades augmente, si les ressources sont constantes, comme l’investissement pro capite nécessaire pour la prise en charge, le nombre de suivi ne change pas. Au contraire, la variation du nombre de prises en charge influence l’incidence.
Aussi le taux de prévalence, qui est le calculée en rapportant à la population totale le nombre de cas de maladies présents à un moment donné dans une population, n’influence pas le nombre de prises en charge, pour le même raisonnement qu’avant. En plus, dans ce cas, on peut dire aussi que la variation du nombre de prises en charge influence seulement marginalement le taux de prévalence : les suivis ne peuvent pas guérir. De l’autre coté, plus de prise en charge permet une espérance de vie de malades plus longue, et donc une augmentation de la prévalence.
Le problème majeur de ce modèle, a coté de la difficulté de collecter le données, est la multicollinearité.En outre, l’utilité marginale d’une unité ultérieure d’investissement dans un certain facteur peut être décroissante. Cependant, je n’ai pas l’opportunité de tenir en compte cette possibilité, en devant donc assumer que les utilités marginales soient toujours croissantes.
Est-ce que les experts de STATA et de l'économetrie ont des idées pour résoudre ces problèmes? d'autres notes ou suggestions?
merci beaucoup, et bon suivi de terrain!
Enfin, grace à l'analyse des données et surtout des opinions que j'ai collectées et à l'analyse des expériences vécues, je suis avancée dans l'élaboration de mon projet..
En effet, c’est reconnu que en augmentant les investissements dans le secteur de la santé on a une augmentation de la croissance économique.
Mais certaines fois c’est impossible d’augmenter les investissements en manière consistante et durative, surtout pour les pays en voie de développement qui dépendent des pays plus développés pour la majorité de leurs investissements en santé. En effet, ces pays se trouvent à opérer dans une situation de ressources restreintes et difficilement croissantes.
C’est a partir de ces constatations que je me suis intéressée à comment maximiser l’efficace et l’efficience des investissements dans le secteur de la santé. En effet, si l’efficace et l’efficience des investissements est majeure, pour chaque niveau donné des investissement on peut rejoindre un output meilleure.
Dans ce cas, concernant la santé, j’ai pensé utiliser comme output le nombre de malades prise en charge.
En effet, plus est grande le nombre de malades pris en charge plus on réduit la mortalité (et le nombre de malades prises en charge est, avec la qualité des soins, la seule-je crois- levier directe pour influencer le taux de mortalité). Et la réduction de la mortalité est l’un des aspects qui permettent une majeure croissance économique. Donc je crois que l’augmentation du nombre de malades pris en charge a parité d’investissement doit être un des objectifs des états, surtout s’ils n’ont pas des ressources trop vastes, comme dans le cas du Cameroun. En effet, cet état dépende comme plusieurs pays de l’Afrique subsaharienne des investissements étrangers pour effectuer efficacement sa lutte contre le SIDA. Cependant, ces investissement ne sont pas infini dans le temps, comme est en train d’émerger dramatiquement dans le cas de ce pays.
La demande que je me suis posée est donc : à l’intérieur de la lutte contre le SIDA, quels sont les secteurs d’investissement qui permettent de maximiser l’efficience des investissements mêmes ? Est-il mieux d’investir dans la sensibilisation ou dans les contributions pour les médicaments ? Dans la réduction des temps d’attente ou dans la réduction du coût des visites ?
Pour répondre à cette question, je doit voir quel a été l’impact des investissements dans les différentes facteurs sur l’output.
Je pense utiliser un modèle (Nombre malades pris en charge = ß1 X1+ ß2 X2 + ß3 X3 + ß4 X4 + ß5 X5 + ß6 X6 +Ɛ ) où la variable expliquée est le nombre de malades pris en charge, tandis que les variables explicatives sont tous les facteurs qui influencent ce nombre et qui peuvent être amélioré par un augmentation de l’investissement (qui peut être « additionnel », dans le cas meilleure, ou « soustractif », quand l’investissement totale est constante et cette augmentation est possible à détriment des autres facteurs). Je considère seulement l’investissement publique ou des organisations internationales (il n’y a pas un gros investissement privé, à l’exclusion des investissements effectués par les malades). En effet, les malades n’ont pas l’opportunité de modifier la répartition de leur investissement, qui est dépendante des choix d’investissement « publiques ».
C’est à partir des entretiens que j’ai eu sur le terrain avec des travailleurs du secteur sanitaire, des patients et des gestionnaires de la santé publique, que j’ai identifié les six différents facteurs qui j’ai mis dans le modèle et qui peuvent influencer directement le nombre des malades qui se font détecter et qui sont pris en charge. Ces facteurs sont :
X1 = coût des médicaments.
X2 = niveau de stigmatisation, qui est la cause d’une réduction du nombre des personnes qui se font dépister et soigner.
X3 = coûts indirects (de transport et de logement) soutenus pour aller à l’hôpital et pour se loger dans la ville où il se trouve.
X4 = temps d’attente (pour faire la visite de contrôle ou pour recevoir les médicaments à la pharmacie).
X5 = nombre d’agents de soutien psychosociale, qui influence le nombre des perdus de vue
X6 = coût des visites et des examens.
Pour chaque variable, j’ai besoin d’une série historique de données qui va du 2000 au 2009.
Dans plusieurs cas, pour estimer la valeur de ces facteurs on doit utiliser des proxi. La choix de proxi est influencée par le problème de l’incomplétude des données pour ce type de pays, où les collectes de données officielles sont insuffisantes et limité dans le temps.
J’ai des idées, mais je n’ai pas encore décidé pour toutes les variables quelle proxi j’utiliserai. Ça dépendra des données que j’ai pu collecter ou que je peux trouver sur des revues/des sites spécialisés. Et surtout je dois vérifier leur cohérence
Pour ce qui concerne la variable dépendante, j’ai choisi utiliser le nombre de malades pris en charge puisqu’elle est une variable influencée seulement par l’investissement totale et l’efficace et l’efficience des investissements. En effet, l’incidence, qui est le nombre de nouveaux cas d'une pathologie observés pendant une période et pour une population déterminée, n’influence pas le nombre de prise en charge : même si le nombre de malades augmente, si les ressources sont constantes, comme l’investissement pro capite nécessaire pour la prise en charge, le nombre de suivi ne change pas. Au contraire, la variation du nombre de prises en charge influence l’incidence.
Aussi le taux de prévalence, qui est le calculée en rapportant à la population totale le nombre de cas de maladies présents à un moment donné dans une population, n’influence pas le nombre de prises en charge, pour le même raisonnement qu’avant. En plus, dans ce cas, on peut dire aussi que la variation du nombre de prises en charge influence seulement marginalement le taux de prévalence : les suivis ne peuvent pas guérir. De l’autre coté, plus de prise en charge permet une espérance de vie de malades plus longue, et donc une augmentation de la prévalence.
Le problème majeur de ce modèle, a coté de la difficulté de collecter le données, est la multicollinearité.En outre, l’utilité marginale d’une unité ultérieure d’investissement dans un certain facteur peut être décroissante. Cependant, je n’ai pas l’opportunité de tenir en compte cette possibilité, en devant donc assumer que les utilités marginales soient toujours croissantes.
Est-ce que les experts de STATA et de l'économetrie ont des idées pour résoudre ces problèmes? d'autres notes ou suggestions?
merci beaucoup, et bon suivi de terrain!
jeudi 19 novembre 2009
Les économies en développement face à la crise
Le CEPII et l'OCDE organisent leur conférence annuelle sur "Les économies en développement face à la crise" (26 et 27 novembre). Cela peut intéresser ceux d'entre vous qui se trouvent à Paris à ce moment là.
Programme du 26
Programme du 27
David
Programme du 26
Programme du 27
David
lundi 9 novembre 2009
Revue d'économie du développement
Pour celles et ceux que cela intéresse, le dernier numéro de la Revue d'économie du développement porte sur "Santé et développement". Il y a notamment un article sur "Les déterminants de l'épidémie du VIH/SIDA en Afrique subsaharienne" qui peut servir à Simona et Violeta.
David
David
mercredi 4 novembre 2009
Maquette pédagogique
Pour celles et ceux qui ne l'auraient pas encore vue, voici la Maquette pédagogique du Master Affaires internationales, filière Economie du développement international - Promotion 2008-2010.
David
David
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